Outre les dépenses et l’épargne, l’une des fonctions économiques les plus essentielles est l’investissement. Pour le dire autrement, l’investissement peut être considéré comme le paramètre nécessaire pour générer les ressources de dépenses. En plus des revenus passifs, il peut fournir une variété d’autres sources de revenus.
Le public est de plus en plus conscient de cette approche jusqu’alors inconnue. Qu’entend-on par revenus « passifs » ? Sont-ils cohérents d’une manière ou d’une autre ? Et comment peut-on réellement gagner de l’argent grâce à eux ? Voici quelques réponses !
Qu’est-ce que cela signifie d’avoir un revenu passif ?
Le terme « revenu passif » désigne l’argent que l’on gagne sans vraiment travailler ou faire un investissement important. Cette notion d’effort est à apprécier de manière technique et nuancée. En effet, la personne qui gagne un revenu passif peut avoir déjà commencé à faire des tentatives pour générer un revenu à long terme. Cela peut être démontré par des exemples tels que la construction d’un bien immobilier, l’écriture d’un livre, ou encore la création d’une entreprise.
En d’autres termes, on peut voir dans ces exemples que la personne qui initie ces projets peut gagner de l’argent même si elle ne travaille plus. Le principe du revenu passif repose sur le fait que rien ne dure indéfiniment, quels que soient les efforts déployés. Certains ont duré des décennies, tandis que d’autres n’ont duré que quelques années.
Il est évident qu’à un moment donné, un revenu régulier sera perturbé pour une raison ou une autre. La création de nombreux flux de revenus passifs est recommandée comme stratégie d’atténuation des risques. Cela permet de s’assurer que tout ne s’arrête pas d’un coup.
En plus du travail initial requis par certains revenus passifs, ce dernier groupe peut nécessiter un entretien permanent. Certains revenus sont classés comme « semi-passifs ». Il s’agit surtout de conserver des revenus qui doivent être entretenus pour qu’ils continuent à être générés.
Il existe deux types de revenus passifs : ceux qui nécessitent un capital et ceux qui n’en ont pas besoin pour démarrer. Quelles sont les méthodes de génération de revenus passifs ? Voyons ensemble quelques exemples…
Gagner de l’argent en investissant sur le marché boursier
La bourse est l’un des outils les plus souvent utilisés pour générer des revenus passifs. Le principe fondamental de la bourse est la sélection ou l’acquisition d’un actif monétaire. Les actions et les responsabilités sont les choix disponibles.
Pour générer des revenus passifs, il est préférable d’éviter les comptes d’or, d’argent et les comptes bloqués, car ils ne sont tous rémunérés que périodiquement sur les marchés boursiers.
En raison de leur volatilité et de leurs coûts souvent astronomiques, les engagements ne sont pas les meilleurs paris pour générer des revenus réguliers. Il est préférable de se concentrer sur l’action. Néanmoins, avant d’entreprendre toute démarche, il faut vérifier que le dernier a versé des dividendes pas trop faibles et qui ont augmenté sur le long terme. Il faut également prendre en compte le prix d’achat des titres et le retour sur investissement attendu de la société dans laquelle on investit.
Réaliser des effets sonores rémunérateurs
Cette méthode est facile à mettre en pratique afin de générer des revenus passifs. Elle consiste à participer à des sondages en échange d’argent ou de chèques cadeaux. Il existe, en effet, des plateformes dédiées qui permettent de réaliser des sondages.
Il suffit à l’utilisateur de s’inscrire sur le site, de mettre à jour son profil, et de répondre aux questions directement sur le site ou par email. Une fois le seuil spécifié atteint, des gains sont réalisés.
Selon les plateformes, les gains sont variables, mais ils ne dépassent généralement pas 3 euros. Ils dépendent de la durée de l’enquête. Seules les personnes âgées d’au moins 15 ans sont autorisées à participer à ces enquêtes.
Les paiements peuvent être effectués par PayPal, par chèque, par virement bancaire ou par un don en argent. Malgré cela, l’utilisateur ne devra jamais rien payer pour l’enquête s’il utilise un hébergeur de bonne réputation.
Etablir et monétiser une présence en ligne
La création d’un site web présente des avantages à bien des égards ! Après s’être rendu compte que leur plateforme génère du trafic, les utilisateurs peuvent commencer à l’utiliser pour gagner des revenus passifs. Les légions sont les méthodes utilisées pour y parvenir. En plus du modèle CPC (Cost Per Click) de Google Adsense, vous pouvez également utiliser EZOIC, une nouvelle plateforme qui vient d’émerger dans le monde, comme source de revenus.
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Même si cette méthode est simple à mettre en œuvre, elle n’est pas très rémunératrice et les bloqueurs de publicité ne sont pas particulièrement concernés. Les utilisateurs peuvent également se tourner vers le marketing d’affiliation, la génération de leads, les partenariats ou la vente de services.
Vivre de ses revenus passifs : c’est possible ?
C’est une question très subjective qui est souvent posée par un grand nombre de personnes. Il est tout à fait possible de vivre de ses revenus passifs. Cependant, il faut comprendre que cela demande énormément d’efforts, de compétences et de disponibilité.
Pour pouvoir vivre de ces revenus sur le long terme, il est recommandé de les diversifier afin d’avoir d’autres sources de revenus. D’autres personnes peuvent choisir de compléter leurs revenus actifs par des revenus passifs… En bref, la décision vous appartient !
Est-il possible de qualifier un revenu de « passif » ?
La peur des impôts empêche la plupart des gens de déclarer avec précision leurs revenus et leurs dépenses. De plus, la question de la déclaration des revenus passifs fait l’objet de débats. Toutefois, les contribuables qui ne veulent pas que leurs factures fiscales soient mises en vente peuvent se tourner vers le système micro-BNC.
Il s’agit d’une loi d’État qui permet aux personnes de déclarer leurs revenus sans avoir à payer d’impôts sur ceux-ci. Les seules conditions sont que l’activité doit être un service et que les bénéfices générés ne doivent pas dépasser 32 600 euros par an.